Dada Messe
La Internationale Dada Messe1, rappresenta l'apice del movimento berlinese. Essa è in noce, la negazione di tutti i sistemi convenzionali dell'arte e una spietata critica delle classi altolocate: […] Tandis que le murs sont constellés de slogans -”Nieder die Kunst" (À bas l'art), "Dilettantes, erhebt euch gegen die Kunst" ( dilettantes, révoltez-vous contre l'art). "Dada se tient du côté du prolétariat révolutionnaire", "Dada est politique", "À bas la morale bourgeoise", clament enfin les affichesà la manière d'un programme idéologique. La Foire est de fait nihiliste, communiste, anticléricale et antibourgeoise (2).
La mostra è organizzata dai tre membri più attivi del gruppo: Grosz, Heartfield e Hausmann. All'interno della fiera le opere sono di svariata natura: collage di Hausmann, Fotomontaggi di Höch, il Plasto-Dio-Dada-Drama di Johannes Baader, il preussischer Erzengel “à tête de cochon” di Schlichter e Heartfield e Der wildgewordene Spießer Heartfield:
Le bras du mannequin sont remplacés par una sonnette électrique et un revolver, sa poitrine héroïque présente avec fierté des décorations de guerre, une fourchette brisée et une lame de couteau rouillée. Le mannequin de tailleur porte, en guise de tête, une ampoule sur ses épaules, qui peut être éteinte ou allumée à souhait (3).1 Tenutasi a Berlino presso la galleria Otto Burchard, nell'estate del 1920
2 DADA, Centre Georges Pompidou, Parigi, 2005; p. 322.
3 Ivi; p. 819.
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