giovedì 29 settembre 2011

Nuestra vida cuelga toda de un hilo

L'ALTRO; culture e religioni per Les Editions de l'Atelier


From thegreateachers

Una storica casa editrice francese, Les editions de l'Atelier, continua la collana dedicata al dialogo e alla conoscenza di religioni e culture diverse; questioni che oggi sono al cuore della questione sociale, (in Francia soprattutto, ma anche in Italia il problema sta diventando all'ordine del giorno) essendo le nostre realtà molto composite a livello culturale ed etnico. Purtoppo si vede sempre di più come oggi si stia sviluppando un discorso molto conservatore che sostiene che chi non é italiano, francese, inglese o tedesco di origini deve o conformarsi alle norme dettate dalla società di quel paese o andarsene. Questo discorso di appoggia sul una idea diffusa di fallimento della società multiculturale. I conservatori che qualche hanno fa sostenevano la pluralità culturale, oggi affermano che la coabitazione tra culture diverse é un’esperienza fallita.


I fatti della Norvegia hanno rivelato cio’ che succede in molte società europee che considerano lo straniero come una minaccia. E’ per questo che le Ediziotions de l’Atelier hanno iniziato una collana di libri per gli studenti dagli 11 ai 15 anni che introduca alla scoperta delle principali religioni. I ragazzi hanno, infatti, una conoscenza povera sia della loro religione che di quella del loro vicino, del loro compagno di banco. La collana si divide, seguendo le diverse classi, in una prima parte sulle feste religiose, una seconda sull’arte nelle diverse religioni, una terza sulle grandi domande della vita e un’ultima parte sul fondamento della vita. Lo scopo è permettere allo studente di relazionarsi con l’altro, capendone la ricchezza. Si tratta dunque di uno scopo non propriamente interreligioso, ma piuttosto di conoscenza dell’altro. Lo scopo é di conoscersi meglio per meglio vivere insieme. C’é un interesse reale per l’educazione alle religioni, un interesse per il legame tra la religione e la vita. Per pubblicare questi libri sono stati interpellati specialisti delle diverse tradizioni religiose, organizzati in équipes perché lavorassero insieme, si conoscessero e potessero cosi avere una visione induttiva dell’argomento. L'idea è quella di promuovere una società dove ci sia spazio per esperienze nuove, anche se non appartengono a una religione tradizionale.

La religione non é un sistema di valori determinato, ma la ricerca della verità della mia umanità. Per i cristiani é ispirata dal vangelo; ma si iscrive nella realtà, perché é una parola che riguarda l’oggi di una realtà che cambia. Notiamo sempre piu’ che pochi cristiani oggi vivono questo senso. In Francia, ad esempio, ma non solo, i cristiani sono molto conservatori, vivendo una religione che ha una risposta pronta per tutto, che risponde a domande ancora prima che esse vengano poste.

mercoledì 28 settembre 2011

martedì 27 settembre 2011

Edvard Munch Exposition au Centre Pompidou, Paris


Edvard Munch, L'Oeil moderne par centrepompidou

Edvard Munch
L'Oeil moderne
Présentation de l'exposition,
par Angela Lampe et Clément Chéroux, conservateurs au musée national d'art moderne.
Edvard Munch est parfois considéré comme un artiste du 19e siècle, un peintre symboliste ou pré-expressionniste. Une idée reçue en fait aussi un artiste reclus, en proie à de violentes angoisses, dépressif, une âme tourmentée. L'exposition montre, à rebours de cette mythologie, que Munch était ouvert aux débats esthétiques de son temps, et qu'il a entretenu un dialogue constant avec les formes de représentation les plus contemporaines : la photographie,
le cinéma et le théâtre de son époque. Il ira jusqu'à faire lui-même l'expérience de la photographie et du film, osant des autoportraits qu'il est sans doute le premier à avoir réalisés, à bout portant, en tenant l'appareil d'une main : « J'ai beaucoup appris de la photographie, déclare-t-il. J'ai une vieille boîte avec laquelle j'ai pris d'innombrables photos de moi-même. Cela donne souvent d'étonnants résultats. Un jour lorsque je serai vieux, et n'aurai rien d'autre de mieux à faire que d'écrire mon autobiographie, alors tous mes autoportraits ressortiront au grand jour. » (Edvard Munch, interviewé par Hans Tørsleff, 1930)

Munch était pleinement « moderne », c'est la thèse que défend cette exposition que lui consacre le Centre Pompidou, avec cent quarante oeuvres, dont une soixantaine de peintures, cinquante photographies en tirages d'époque, des oeuvres sur papier, des films et l'une des rares sculptures de l'artiste. À travers neuf thèmes, elle présente un ensemble comme il a rarement été
possible d'en voir, associé à ses expérimentations photographiques et filmiques. Visite en neuf points :

REPRISES
Variantes, copies, autant de termes qui pointent un aspect essentiel dans l'oeuvre de Munch, c'est-à-dire la répétition d'un même motif. Décontextualisé, il s'apparente alors à un signe autonome. Il existe, par exemple, sept versions des Jeunes Filles sur le pont, sans compter les adaptations graphiques. Quelques chefs-d'oeuvre de sa période symboliste dialoguent aussi avec leurs reprises tardives, peintes souvent dans un style plus expressif où le contour se dissout et où la couleur s'intensifie.

PHOTOGRAPHIES
Comme les peintres Pierre Bonnard et Édouard Vuillard, Edvard Munch fait partie d'une génération qui, au tout début du 20e siècle, s'empare de la photographie, en amateur. Sa pratique photographique est centrée sur l'autoportrait. En dehors de quelques images d'espaces liées à ses souvenirs, l'artiste se photographie principalement pour se dévisager. Ses autoportraits photographiques trouvent ici leur vraie valeur, celle d'expérimentations visuelles.

L'ESPACE OPTIQUE
Munch traite de l'espace de façon très singulière : il fait souvent référence, dans son utilisation de premiers plans proéminents ou de lignes diagonales très prononcées, aux nouvelles technologies visuelles comme la photographie en relief ou le cinéma, dans leur capacité à produire des images qui sortent de l'écran pour avancer vers le spectateur.

EN SCÈNE
Depuis ses premiers portraits en pied, Munch s'intéresse à la frontalité des modèles qui posent comme des statues, dans une attitude hiératique et figée. Inspiré par les innovations de Max Reinhardt, fondateur des Berliner Kammerspiele, le peintre accentue sa façon d'inclure le spectateur dans l'espace du tableau. La série La Chambre verte, conçue comme une boîte
ouverte, en témoigne. Munch ne reste pas insensible aux nouveaux effets visuels introduits par l'éclairage électrique sur les scènes des théâtres.

REMÉMORATION
La reprise de certains motifs, resserrée sur une période très courte, touche parfois pour Edvard Munch à l'obsession. La première sensation vécue s'imprime sur la rétine comme une image indélébile qui hante l'artiste. Il s'agit en l'occurrence de la rencontre avec le modèle Rosa Meissner en 1907 qui, sous les traits d'une Femme en larmes, apparaît sur une photographie et de nombreuses peintures, dessins, gravures et lithographies. Le peintre lui dédie même une de ses rares sculptures en bronze. Munch cherche à se rapprocher de son souvenir de toutes les façons possibles.

DÉMATÉRIALISATION
La dualité entre matérialité et immatérialité, une oscillation entre présence et effacement constitue un autre thème central dans l'oeuvre d'Edvard Munch. À l'instar de ses photographies, plusieurs de ses peintures les plus importantes, comme Le Soleil et La Nuit étoilée, jouent sur des phénomènes de transparence où la matière se mue en une présence fantomatique et éphémère. De la même manière, la surimpression de motifs peints évoque avec leur effet « bougé » les expérimentations sur Celluloïd, par la photographie et par le film. La dissolution des formes progresse sur certaines toiles, annonçant le tachisme d'après-guerre.

FILM
Lors de l'été 1927, peu après l'acquisition à Paris d'une caméra amateur et d'un projecteur, Munch filme à Dresde, Oslo et Aker. On retrouve, dans ces quatre courtes séquences, son intérêt pour la ville et sa circulation autant que pour les paysages, les portraits de ses proches et même l'autoportrait. Il adopte pour ces images un mode filmique très « gestuel », à l'opposé de l'immobilité préconisée dans la photographie amateur, en suivant des objets mobiles ou
en réalisant des panoramiques urbains. Ses films s'apparentent davantage à des notes visuelles.

LE MONDE RÉEL
Edvard Munch n'est pas uniquement le peintre de l'angoisse intérieure. Grand lecteur de la presse nationale et internationale, il était aussi inscrit dans l'actualité de son temps et tourné vers l'extérieur. Une grande part de son oeuvre s'appuie sur les motifs croqués sur le vif. Beaucoup de
ses tableaux sont inspirés de scènes saisies dans la rue, d'incidents rapportés par la presse ou la radio. Il raconte des histoires en séquences, un mode très moderne qui n'est pas étranger au traitement du fait divers.

LE REGARD RETOURNÉ
Depuis ses premières années jusqu'à ses dernières oeuvres, l'artiste n'a cessé de scruter son propre visage, d'observer les effets du passage du temps sur son corps et ses sens à travers ses autoportraits. Dans les années 1930, lorsqu'il est atteint d'une maladie de l'oeil – une hémorragie provoque une brusque perte de vision à droite – il peint et note au jour le jour les effets de cette dégénérescence. Sa dernière oeuvre – présentée dans l'exposition – est un autoportrait.

21 septembre 2011 - 9 janvier 2012
11h00 - 21h00
12 €, TR 9 € / 10 €, TR 8 €, selon période

Nocturnes tous les jeudis jusqu'à 23h
Fermeture des caisses à 22h

lunedì 26 settembre 2011

La ville: peur et désir. Une idée simple et révolutionnaire.1.

Autoretrato en un estado de tormento interior (after Munch)




Ai Weiwei, Chine





Revenu « calmé », disait-on, d’un séjour dans les geôles du pouvoir chinois, détenu au secret pendant 80 jours, Ai Weiwei était sorti de prison après avoir confessé des infractions d’évasion fiscale alors qu’il s’apprêtait à prendre un avion pour Hong-Kong.

Selon Reuters, l’artiste aurait été interrogé plus de cinquante fois, alors qu’il était censé être détenu dans deux endroits secrets. Ces interrogatoires répétés, en plus d’être une source importante de stress pour l’artiste, n’étaient pas du tout axés sur ce qui était censé être la raison de sa détention, à savoir ses fraudes économiques, mais sur sa participation à un projet artistique : Jasmine Revolution. Surveillé 24h sur 24 par deux policiers qui ne le laissaient jamais avoir une once d’intimité, contraint de porter une cagoule, il doit supporter le regard pesant de ces deux hommes, même pendant son sommeil, qui l’empêchaient de parler et à qui il devait demander l’autorisation d’aller aux toilettes ou de boire. Il était même tenu de dormir les deux mains bien en évidence posées sur sa couverture.

L’artiste Ai Weiwei, connu pour sa participation à la conception du stade national olympique de Pékin et populaire par ses sorties intempestives contre le régime et sa campagne pour rassembler les noms des 5026 enfants décédés lors du tremblement de terre survenu en 2008 dans la province du Sichuan, voit sa liberté de parole limitée, comme condition de sa libération.

Les esclaves de Pékin

Ai Weiwei n’aura pas tenu sa langue très longtemps. Prudent, dans un premier temps, il fait acte de contrition dans une interview au quotidien officiel Global Times le 9 août: «Renverser le régime par une révolution radicale ne peut résoudre les problèmes de la Chine. Le plus important, c’est un système politique scientifique et démocratique».

Une fausse piste pour mieux brouiller les esprits du parti. Le lendemain sur twitter, alors que son compte est scruté par les autorités, il dénonce les conditions de détention de quatre de ses collègues emprisonnés avec lui et réclame « équité et justice ».

Toujours sous la menace d’un emprisonnement pour « incitation à la subversion », l’ancêtre du « crime d’Etat », Ai Weiwei s’est confié pour la première fois au journal Newsweek prenant pour cible Pékin, ville symbole d’une Chine moderne et développée, un chantier permanent, cassé morceau par morceau, débarrassé sans préavis de ses quartiers traditionnels. « Une prison, un asile de fous » selon ses propres mots.

Dans cette tribune, Ai Weiwei dénonce ce modèle de développement kafkaïen et la violence sociale de cette course à la modernité : « Pékin est double. Une ville de pouvoir et d’argent où les gens ne se soucient pas de leurs voisins et une ville de désespoir. Chaque année, des millions de personnes arrivent à Pékin pour y construire les ponts, les routes et les habitations. Ce sont les esclaves de Pékin» écrit Ai. « Ils squattent dans des structures illégales, que la ville détruit à mesure qu'elle s'étend. A qui appartiennent ces habitations? Aux membres du gouvernement, aux magnats de l'industrie du charbon, à des dirigeants de grandes entreprises ».

A Pékin « vous verrez les écoles de migrants que l'on ferme. Vous verrez les hôpitaux où l'on pose des points de suture à des patients, à qui on les retire aussitôt en se rendant compte qu'ils n'ont pas d'argent ».

Pékin est un cauchemar permanent
Ai Weiwei n’épargne pas le système judiciaire qui ne lui inspire aucune confiance : « sans confiance, vous ne voyez rien, comme dans une tempête de sable. Une ville est un endroit qui peut offrir un espace de liberté maximal. Pékin n’a pas ces espaces de coexistence. Aucune de mes œuvres ne représentent Pékin. Je ne pense jamais au stade nid d’oiseau pour la simple raison que les Jeux Olympiques n’ont apporté aucune joie particulière aux gens ordinaires ».

Dans Newsweek, l'artiste évoque l' « épreuve » subie. « Il y a beaucoup d'endroits cachés où ils mettent les personnes sans identité. Sans nom, seulement un numéro. Seule votre famille hurle que vous êtes manquant. Mais vous n'obtiendrez aucune réponse des communautés de quartier ou des responsables ou même, aux niveaux plus élevés, du tribunal, de la police ou encore du président ».

Ai Weiwei poursuit sa diatribe par une référence au roman inachevé de Kafka, Le Château dans lequel l’auteur décrit les aventures de K., le héros du roman, tente d’entrer en contact avec les fonctionnaires inaccessibles du village qui résident au château. Kafka y traite notamment de l'aliénation de l'individu face à une bureaucratie rigide qui a coupé tout contact avec la population. Telle Pékin en Cité interdite du pouvoir communiste : « Cette ville n'est pas bâtie sur des personnes ou des bâtiments ou des rues, mais sur votre structure mentale. Les villes sont des maladies mentales. Pékin est un cauchemar. Un cauchemar permanent ».

http://artdatabank.blogspot.com/2011/06/ai-weiwei.html

domenica 25 settembre 2011

Canción alegre para un pueblo valiente. Concierto Centro Cultural ONE WAY

Domingo 25
de septiembre
hrs. 2:00 p.m.
Parque Central de
Valle de Angeles.
Casa de la Cultura de
Valle de Angeles.
Francisco Morazán, Honduras!

Ingreso gratuito

sabato 24 settembre 2011

Tegucigalpa

By Juana Pavòn
(Poeta hondureña)
Tegucigalpa de barro y humo             
fauna humana enloquecida               
Tegucigalpa sin canteras               
de misteriosas callejas                 
y de balcones sin flores               
puentes de ida y vuelta                 
al más allá de lo inevitable           
con sus remedos de ríos                 
que apenas ruedan al mar               
Tegucigalpa marginada y rota           
Tegucigalpa de privilegios             
contraste de mis contrastes             
depósito de miseria y lágrimas         
arrastrando mi tristeza                 
en esas calles ya conocidas             
mil y mil veces recorridas             
capital de la ignominia                 
de la estúpida política                 
capital de mis enredos                 
del amor y el desamor                   
Tegucigalpa conmigo                     
Tegucigalpa contigo                     
ciudad mía pero ajena                   
ciudad de nadie pero amada             
dejaste cicatrices                     
en un cuerpo otrora hermoso             
otrora limpio                           
ahora viejo                             
cuando te adopté conmigo               
fue tu prioridad                       
atrapar mis pies vagabundos             
cortar mis alas                         
y transformar mi vivir intenso         
en esta loca sedentaria                 
sola solita sola                       
pero no cortaste mis manos             
para escribirte                         
para cantarte                           
Tegucigalpa de noche y día             
cómo me dueles toda                     
mi canto                               
eterno lamento                         
por esas horas                         
sola y perdida                         
¡ay! Tegucigalpa de mis amores         
de mis sueños                           
de mis ideales y penas                 
de los estancos unidos                 
de la siempre ciudad mía               
Tegucigalpa                             
implacable conmigo                     
sin respetar ni perdonar mi juventud   
envejeces pero aquí conmigo             
aquí loca y leal                       
cloaca testigo de mis tragedias         
así sucia o limpia                     
bonita o fea                           
grande o pequeña                       
me iluminas                             
aunque tenga tristes mis días           
y yo aquí amándote                     
odiándote                               
emborrachándome                         
pelear con todos                       
vivir aquí me obliga a algo             
a vociferar llorando                   
a amar odiando                         
a subsistir                             
¡ay Tegucigalpa de mis amores!

La fotografia nella produzione di Làszlò Moholy–Nagy

L'artista rivendica, quindi, per sé, per la propria attività specifica, il diritto di partecipare all'operazione di trasformazione e di rinnovamento della vita sociale, senza delegare ad altri questa sua facoltà e senza abbandonare il proprio campo di indagine. Questa è la ragione per cui Moholy-Nagy, dopo aver salutato con entusiasmo la rivoluzione comunista di Bèla Kun (1), ed aver messo a disposizione del nuovo regime la propria arte, ne resta ben presto deluso, assumendo anzi nei confronti della rivoluzione un atteggiamento fortemente critico: "I rivoluzionari dimenticarono il significato reale di rivoluzione. Essi dimenticarono di promuovere una rivoluzione interiore della vita. Dimenticarono la cultura. La loro rivoluzione non è un cambiamento rivoluzionario." Contro la "cultura del proletariato", che – dice Moholy – non fa altro che ripetere la cultura del passato, è necessario lavorare per la fondazione di una cultura totalmente nuova. L'arte per dare un contributo sociale, deve anzitutto rinnovare se stessa e fare tabula rasa del passato.
E' in questo contesto, che Moholy-Nagy sviluppa le sue ricerche come pittore e fotografo, basando principalmente la sua arte sull'uso della luce, con le sperimentazioni sui fotogrammi e le composizioni fotografiche realizzate direttamente su pellicola, con i suoi "modulatori di luce" - pitture ad olio su superfici trasparenti e lucide, includenti effetti di luce mobili – i suoi fotomontaggi di analisi spaziale e dinamica delle forme. La sua visione estetica consiste nei puri fondamenti visivi : colore, composizione, luce, equilibri di forme, ma si caratterizza proprio nei fotogrammi e nei fotomontaggi, per un' analisi spaziale e dinamica delle forme, ancora teorizzata in "The new vision" e nel suo libro, uscito postumo, "Visione in Motion" che compendia tutte le sue esperienze in vari campi. Imbevuto di idee futuriste, costruttiviste, e cubiste, operante nel Bauhaus con Gropius, Shlemmer, Klee, Feininger, Moholy-Nagy non può considerare i valori di tempo e di spazio come assoluti, quali venivano presentati dalla cultura e dalla scienza prerelativistica, la sua attenzione si sposta, quindi, – attraverso l'esperienze nuove, dell'arte del dopoguerra – dagli aspetti statici e meccanici del mondo a quelli dinamici ed energetici. Inizialmente cerca di esprimere emotivamente questi concetti attraverso la pittura, ("La distorsione può significare la visione in movimento"), poi attraverso la fotografia e il cinema. Le sue ricerche – nell'uno e nell'altro caso – sono complementari e spesso coincidono e si identificano. Paul M. Laporte, in "Cubismo e scienza" (2) scrive che la ragione della distorsione e della dissoluzione dell'oggetto in pittura è nata, presso i fauves, da amore per l'espressione soggettiva, e per i cubisti da un processo di ricerca di nuove categorie obbiettive di rappresentazione.
"Queste nuove categorie obbiettive vanno cercate nel bisogno insistente di rappresentare l'esperienza cinestetiche, fino allora non assunte consciamente come fattori essenziali della rappresentazione pittorica. Il principio che integra esperienze visive e cinestetiche in pittura implica in qualche modo il concetto di continuum spazio temporale." Questo, deve essere recepito dagli uomini per spiegare fenomeni altrimenti inspiegabili e per mutare le loro menti, in modo tale che possano divenire creativi nel presente momento storico. 

E' da tempo che esiste il mezzo fotografico ma questo, è stato usato rifacendosi alla pittura, il cosiddetto "pittorialismo". I nuovi mezzi, invece, devono allargare i confini del conosciuto e permettere di "vedere" quello che normalmente tramite le nostre basi biologiche e storiche non riusciamo a cogliere. Proprio per questo, Moholy-Nagy, delega alla pittura la "creazione del colore", dove i rapporti tra questo e i valori luminosi devono essere creati su basi universali come lo sono i rapporti acustici, e la "creazione della rappresentazione" ,cioè la liberazione dell'espressività figurativa dalle modalità prospettico-realistiche ai nuovi media ottici, che si aprono a metodi ed impieghi disparati: per un verso essi, perfezionando le facoltà visive dell'uomo, possono consentire un tipo di visione completamente depurata da sovrastrutture.

DRINKMi e TranSeat | i progetti design della future minds exhibition

DRINKMi | by Marco Eba Ghisalberti
Questo progetto nasce come tesi di laurea in Design del Prodotto al Politecnico di Milano, con l’obiettivo di incentivare il consumo di acqua «del rubinetto».  A discapito dell’acquisto di acqua in bottiglia, la cui produzione, distribuzione e dismissione causa spreco di risorse e una grande quantità di rifiuti. «DRINKMi» è un erogatore di acqua potabile pensato per gli spazi pubblici che, utilizzando l’immagine iconica della bottiglia, identifica l’acqua di rete come «acqua da bere». L’erogazione si attiva inclinando la bottiglia di 90°, ricalcando il gesto che si compie per versarla da una bottiglia reale, rafforzando così la suggestione. L’uso dell’immagine della bottiglia è stato anche dettato dall’universalità di tale simbolo: il messaggio di potabilità che veicola può essere compreso dai cittadini di qualunque parte del mondo.

TranSeat | by Maria Jennifer Carew 
Fusione tra il settore dell’arredo urbano e della segnaletica stradale, «TranSeat» è una transenna capace di mutare il proprio significato in base all’evenienza. Talvolta barriera e talvolta panchina, mostrando una funzionalità inaspettata e contraddittoria, che vede un oggetto concepito per vivere «contro» la persona, diventarne complice, assecondarla, andando incontro alle sue esigenze e alle sue aspettative represse. Una struttura in tubolare d’acciaio e dei listelli in legno danno vita ad un prodotto innovativo nella funzione e nella concezione, aprendo la strada ad una serie di elementi polifunzionali per la riqualificazione urbana.
«TranSeat» è infatti pensata sia come transenna mobile che come transenna parapedonale, adatta come recinzione di parchi o di altre zone cittadine.

giovedì 22 settembre 2011

Ipse Dixit: Troy Davis

Vladimir Sabillon, giovane artista honduregno, proponeva questa immagine l'anno scorso all'esposizione Poster For Tomorrow: Death is not Justice, svoltasi a Parigi. Ci ricordava che nell'ingiustizia di oggi si riflette l'ingiustizia che da secoli si perpetrua, considerando la vita umana come una cosa che si puo' possedere, e dunque troncare.
Stanotte il governo degli Stati Uniti d'America ha ucciso Troy Davis alle 5 e 08 ora di Parigi. La democrazia americana continua programmaticamente a uccidere. Tentati di diperare ormai di noi stessi e dell'uomo, inghiottendo schifati tutte le barbarie che "democraticamente" avvengono sotto i nostri occhi, vogliamo pero' ricordare le ultime parole di Troy Davis, prima di essere ucciso, guardando il boia che gli ha innettato il veleno nelle vene. " A coloro che stanno per togliermi la vita dico: Che Dio vi benedica"

Fra Angelico et les Maîtres de la lumière


Le Musée Jacquemart-André consacre une exposition à Fra Angelico. Le Musée Jacquemart-André est le premier musée français à rendre hommage à Fra Angelico, figure majeure du Quattrocento. L’exposition présente près de 25 œuvres majeures de Fra Angelico et autant de panneaux réalisés par les peintres prestigieux qui l’ont côtoyé : Lorenzo Monaco, Masolino, Paolo Uccello, Filippo Lippi ou Zanobi Strozzi.

L’EVENEMENT : POUR LA PREMIERE FOIS, UN MUSEE FRANCAIS CONSACRE UNE EXPOSITION A FRA ANGELICO

Alliant dans ses œuvres l’éclat des ors, hérité du style gothique, à la nouvelle maîtrise de la perspective, Fra Angelico (vers 1400-1455) a pleinement participé à la révolution artistique et culturelle que connaît Florence au début du XVe siècle. Il a ainsi été l’initiateur d’un courant artistique que les spécialistes ont appelé les « peintres de la lumière ».
Autour de lui, seront évoqués les peintres illustres qui ont eu une influence significative sur son art, comme son maître Lorenzo Monaco (vers 1370-1424), Masolino (1383-vers 1440) et Paolo Uccello (1397-1475), ainsi que les artistes qu’il a inspiré à son tour, tels que Filippo Lippi (1406-1469) ou Zanobi Strozzi (1412-1468).
L’exposition « Fra Angelico et les Maîtres de la lumière » est réalisée en partenariat avec les grands musées italiens – dont la Galerie des Offices de Florence – et des collections de renommée internationale.
du 23/09/2011 au 16/01/2012
Musée Jacquemart-André :

158, bd Haussmann

75008 Paris

Tél. : 01 45 62 11 59

Fax : 01 45 62 16 36

message@musee-jacquemart-andre.com


mercoledì 21 settembre 2011

Lewis Hine, pionnier de la photographie sociale, à la Fondation Cartier-Bresson



















Vous ne savez peut-être pas qui est Lewis Hine. Mais vous connaissez forcément ses images. C'est ce photographe américain, né en 1874 et mort en 1940, qui a donné un visage, ou plutôt des visages, au rêve américain : ceux d'immigrants dépenaillés, les yeux pleins d'espoir, gravissant les escaliers d'Ellis Island en 1905. Il a laissé aussi des images d'enfants au travail, minuscules silhouettes perdues au milieu d'immenses machines.

On peut toutes les voir à la Fondation Henri Cartier-Bresson, qui consacre au photographe sa première rétrospective d'ampleur avec 150 tirages. Les images sont fortes, mais les tirages présentés à la fondation ne sont pas d'une qualité exceptionnelle. Et pour cause : Lewis Hine ne cherchait pas être exposé en galerie, il voulait avant tout diffuser ses images dans des conférences, des publications.

"Si je pouvais raconter une histoire avec des mots, écrivait Hine, je ne me baladerais pas avec un appareil photo." Lewis Hine est l'un des premiers à avoir saisi l'incroyable pouvoir de démonstration de la photographie. Formé à la sociologie, cet Américain d'origine modeste est d'abord enseignant. Il passe à la photo pour illustrer ses sujets et défendre des causes : dénoncer l'exploitation des enfants, montrer les conditions de vie terribles des habitants des taudis, des Noirs américains, des réfugiés de guerre. Il se fait engager par le Comité national sur le travail des enfants (NCLC) et par la Croix-Rouge américaine.

Rien ne vaut un portrait

Pour convaincre le public, pensait Hine, rien ne vaut un portrait. A Ellis Island, avec son appareil peu maniable, il s'efforce d'isoler des individus dans la foule. C'est ainsi qu'une mère italienne se voit transformée en madone, symbole universel. Les enfants privés d'enfance lui offrent aussi des tableaux saisissants : pour le NCLC, Hine parcourt des milliers de kilomètres pour montrer dans tout le pays des petits ramasseurs de coton, des cireurs de chaussures ou des distributeurs de journaux, qui regardent l'objectif avec des yeux interrogateurs. Lewis Hine prend ses photos sans pathos, avec un souci documentaire. Mais sans s'interdire pour autant la mise en scène quand elle peut servir "sa" vérité.

Sur le fond, Hine est réformiste, pas révolutionnaire. Et plutôt optimiste. Après la première guerre mondiale, il s'engage sur des sujets moins sombres : son livre Men at Work est un hymne au travail. Il loue l'habileté des ouvriers, fourreurs, pâtissiers. A 57 ans, il grimpe même sur l'Empire State Building avec son gros appareil pour en couvrir la construction : il en tire des images vertigineuses et splendides, inspirées par le modernisme.

Mais, bientôt, l'approche de Hine ne fait plus recette. Il manque de commandes, et le monde de l'art peine à faire une place à cette photo entre art et document. Quand le photographe meurt - dans la misère -, ses archives aboutiront à la Photoleague, une association de photographes, après avoir été refusées par le MoMA. Cent après, ses photos n'ont pourtant pas perdu leur force, et ce sont ses images d'immigrés qui accueillent les touristes au musée d'Ellis Island.


"Lewis Hine", Fondation Henri Cartier-Bresson. 2, impasse Lebouis. Paris 14e. Tél. : 01-56-80-27-00 . Du mardi au dimanche, de 13 heures à 18 h 30, le samedi de 11 heures à 18 h 45, nocturne gratuite le mercredi. Mo Gaîté et Edgar-Quinet. 6 € et 4 €. Sur le Web : Henricartierbresson.org. Jusqu'au 18 décembre.

Camera Obscura: Pater

The city: fear and desire. USA Arizona: ArcoSanti - mini documentary (Paolo Soleri)

Arcosanti es una ciudad experimental de la fundación Cosanti fundada por Paolo Soleri y su esposa Colly. Se trata de un laboratorio urbano que se empezó a construir en 1970 bajo las bases de la Arcología en el desierto de Arizona.  Actualmente se encuentra dividido en 13 partes, entre las que se incluyen un laboratorio, un anfiteatro, una fundidora, una piscina y el centro de música Colly Soleri.

martedì 20 settembre 2011

Ipse dixit: en attendant le cours de l'histoire


« Ma terre est sous occupation, je ne veux pas que ma langue et mon imaginaire le soient aussi ».
Mahmoud Darwich

sabato 17 settembre 2011

Punta della Dogana, firmato Tadao Ando


Restauro di Punta della Dogana, ex porto monumentale della città, ora sede permanente delle opere dalla collezione di François Pinault.
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Il progetto architettonico
I primi disegni di Tadao Ando tracciano fin dall’inizio le grandi linee del suo intervento, scegliendo di conservare il montaggio caratteristico dei magazzini affiancati e linearmente disposti tra le rive del Canal Grande e del Canale della Giudecca.
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Realizzando imponenti lavori di rifondazione della fabbrica per porla al riparo sia dall’umidità sia dagli affetti delle alte maree e prevedendo di riconfigurare i soppalchi esistenti, il fine del progetto era quello di attrezzare tutto lo spazio dell’edificio.
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In posizione più o meno baricentrica rispetto all’impianto triangolare del complesso, Ando ha immediatamente previsto di inserire un nuovo spazio a tutta altezza, una sorta di perno posizionato all’interno di uno dei magazzini mediani, da realizzarsi in cemento armato lisciato e lucido, ormai riconosciuto come una cifra delle sue costruzioni. Successivamente questo asse intorno al quale ora ruotano gli spazi espositivi e al quale riconducono i percorsi, ha assunto la configurazione di un cubo che attraversa verticalmente l’ambiente in cui è attualmente collocato.
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Nel continuo, diffuso tessuto degli interventi di restauro, volti ad eliminare le invadenti superfetazioni che negli anni erano venuti affliggendo il complesso di Punta della Dogana, gli inserimenti di nuovi setti, scale, percorsi, spazi di servizio appaiono come accadimenti puntuali. Tra l’antico corpo di fabbrica e questi interventi non si osservano mediazioni né passaggi mimetici, bensì continui accostamenti, quasi Ando abbia deciso di incastonare tra le innumerevoli stratificazioni che formano l’antico edificio dei volumi e dei piani che le separano e le offrono così ordinate come uno spettacolo da godere prodotto dallo scorrere del tempo.
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Infine, ha scelto di affiggere griglie sulle alte porte affacciate sui fronti acquei modellate come esplicite citazioni di quelle realizzate da Carlo Scarpa. Fatte di acciaio e di vetro, benché pensate in modo molto moderno, vengono dall’artigianato veneziano.
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Tadao Ando è riuscito a stabilire a Punta della Dogana un dialogo tra vecchi e nuovi elementi, che crea un legame tra la storia antica dell’edificio, il suo presente e il suo futuro.
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monografie: Richard Neutra


Architetto austriaco (Vienna 1892-Wuppertal 1970). Svolse la sua prima attività a Vienna, nello studio di Adolf Loos(fino al 1918), e poi a Berlino,dove collaborò con Erich Mendelshon fino al 1923, quando si trasferì negli Stati Uniti; qui, dopo una breve esperienza a Chicago e contatti con Wright, nel 1926 si stabilì definitivamente a Los Angeles, dove in seguito aprì un fortunato studio professionale. La ricca clientela californiana offrì a Neutra la possibilità di una vasta produzione, soprattutto nella tipologia della “villa”, che l'architetto risolse nello studio di spazi semplici e rigorosi, aperti all'elemento naturale, organizzati da elementari incastri di piani e scanditi dall'alternarsi di superfici candide e ampie zone vetrate. Uno stile chiaro, trasmissibile e imitabile, che Neutra sostanzialmente non mutò in tutta la sua carriera (dalla Lovell Health House a Los Angeles, 1927-29, alla villa Kaufmann nel Deserto del Colorado, 1946-48) e che ebbe un notevolissimo influsso sull'architettura americana degli anni Trenta e Quaranta, specie nel cosiddetto “stile californiano”. La formazione razionalista, lo studio di moduli spaziali intercambiabili, lo sviluppato interesse tecnologico portarono Neutra a occuparsi attivamente di problemi costruttivi per edifici “di serie”, come scuole e ospedali, nei quali quella stessa meccanicità ripetitiva che contraddistingue le sue opere trovò un funzionale campo di applicazione (centro clinico di Newport Beach). Neutra può essere definito come “progettista totale”; infatti, non si limitò mai alla composizione e progettazione architettonica, ma si occupò di molti elementi complementari a questa, dal mobilio fino ai più banali oggetti di uso quotidiano.
Nonostante sia riconosciuto come uno dei più grandi architetti del secolo XX , il suo libro "Survival Through Design", scritto più di cinquanta anni fa, è stato ampiamente dimenticato, nonostante il fatto che costruire ecologicamente e sano sia divenuto parte significativa del movimento ambientalista. Nel suo libro Neutra si batte per un'architettura basata sulle cognizioni delle necessità fisiologiche e psicologiche dell'uomo e non solo sull'estetica. Per questo motivo sembra utile riportare, su questa pagina, alcuni dei più significanti brani del suo libro:
"La natura è stata troppo a lungo violentata dalle invenzioni dell'uomo costretta a sopportare gioghi, corsetti e metropolitane mal aerate. Probabilmente perché i nostri odierni fabbricanti di prodotti di massa sono particolarmente lontani dalla natura. Tuttavia dai tempi di Sodoma e Gomorra, l'originaria natura organica è stata violentata, più e più volte, dall'uomo, da questo superanimale che lotta ancora per il proprio equilibrio. Ci sono sempre stati eventi premonitori, profeti, diluvi universali e nuovi inizi".
"Ciò che noi chiamiamo brevemente natura include tutto ciò che è parte delle necessità e delle caratteristiche degli organismi viventi. L' intero mondo dei fenomeni organici, negli sfoghi della nostra evidente immaturità, è spesso trattato contropelo e in contrasto al "piano supremo", quello della consistenza e delle necessità biologiche. In tempi passati, agire in questo modo era considerato un peccato e le divinità minacciavano con la morte i peccatori per questa loro colpa. Oggi invece abbiamo messo da parte l'aspetto etico morale, forse troppo sconsideratamente. Per noi uomini odierni, la questione è però ancora la stessa: o sopravvivere in virtù di un comportamento saggio e corretto o essere condannati a morte a causa dei nostri propri errori".


"Nella creatività umana vediamo ancora emergere la continuata evoluzione organica, che si prolunga nel futuro concepito dall'uomo. In ogni caso, lo sviluppo fenomenale ed intensivo della corteccia cerebrale umana non si è rivelato ancora con certezza un vicolo cieco o un malinconico insuccesso. Sicuramente, questo così particolare cervello umano comporta spesso problemi, ma è anche in grado di fornirci degli aiuti non ancora sperimentati che ci permettono di sopravvivere. Noi ci siamo attardati nel richiamare e sfruttare tutte le nostre forze e risorse potenziali per arrangiare, a nostro uso e consumo, in modo sostenibile, uno spazio individuale e comune di vita. Le velenose montagne di rifiuti causati dalla nostra negligenza e dai nostri misfatti, vecchi o nuovi, ci circondano nel nostro ambiente. Le confuse macerie dei secoli, senza nesso a qualsiasi attuale fine pratico, si mischiano, nel modo più fastidioso, con la nostra frequente debolezza, spesso arbitrariamente, nella volontà di creare ordine".

venerdì 16 settembre 2011

Per un Principio Superiore: educare è accompagnare

L'educatore e l'insegnante, pur venendo spesso pagati con tariffe inferiori a quelle degli altri lavoratori, sono gli unici che si presume possano essere autentici nel rapporto educativo che compete loro, impegnandovisi essi con l'umiltà, la pazienza e l'amore di donazione che rendono "vocazione" la loro professione.
L'insegnante è, anche involontariamente, educatore ed è, come per natura, un'autorità per il giovane, gli sia affidato anche soltanto per poche ore la settimana.
Perciò, egli non può disertare il compito che la parola "autorità" gli prospetta: essa deriva dal latino "augeo" e significa "aumentare", cioè "rendere più grande"; il che la assimila  alla parola "maestro", dal latino "magister", sostantivo che si compone con "magis", cioè "di più".
Educare è accompagnare: in questa compagnia educativa, autorità non è dunque chi impone, ma colui stando in compagnia del quale il giovane si sente diventare più grande, più adulto, più libero e più capace di cultura, cioè di una visione critica e sistematica della realtà.
G. R., Per la scuola, 1999
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Dan Colen a Gagosian Roma

Trash

19 septembre - 29 octobre 2011


Gagosian Gallery Rome
Via Francesco Crispi 16
00187 Rome
T. 39.06.4208.6498
F. 39.06.4201.4765
roma@gagosian.com
Hours: Tue-Sat 10:30-7 & by appointment


Inaugurazione alla presenza dell’artista: lunedì, 19 settembre, dalle 18 alle 20

Mi interessa utilizzare il “mondo reale” come materia e forza nel mio processo artistico. Mi piace il modo in cui questi materiali sfuggono in parte al mio controllo, facendo emergere un futuro incerto ma allo stesso tempo dando vita ad un lavoro più definito. Questi materiali hanno una storia, non necessariamente una che io conosca, ma di certo ne hanno una. Non importa quanto io ci provi, gli “oggetti reali” posseggono un’infinità che non riuscirei a definire attraverso la pittura o la scultura.
--Dan Colen